J'ai croisé tes mots, un jour d'été,
vertige, qui en moi, s'est installé,
chaque jour, la beauté d'un soleil,
après l'éclaircie, une merveille.
J'ai suivi tes mots et les ai gardés,
au fond de mon être, gravés,
chaque jour, la féérie du bonheur,
un arc en ciel tout en couleurs.
J'ai rêvé tes mots et les ai perdus,
depuis ce jour, tu n'es plus revenu,
alors à mes yeux scintillent les pleurs,
comme une rose fanée sur mon coeur.
Désormais, je ne croise que le silence,
même si bien souvent à toi, je pense,
la tristesse de la pluie hante ma vie,
par des larmes qui bercent mes nuits.
L.A 11.11.07