Ton hymne trace ma voie
Dans ton hymne sacré, je trouve
La voie de ma libération, dans
Ta beauté parfaite, j’éprouve
Le besoin vital du flot abondant
De la lumière vive qui chasse
L’ombre voilant les cerveaux,
Et ferme les bouches voraces
En montant à tous le nouveau
Virus propagé partout pour
Réduire l’humanité et travestir
La vérité que les troubadours
Révèlent toujours sans abêtir
Le public ou oublier que le vilain
Colonisateur troquait des filles
Pour des chevaux de mains ;
Algérie, tu me donnes des ailes
Pour planer dans le ciel limpide
Et m’incliner devant les âmes
D’un peuple Algérien avide
De scander ton nom, il clame
La nécessité de poursuivre jour
Et nuit l’envahisseur barbare sans
Le laisser nourrir les vautours
Par des enfants impuissants.
Dad Allaoua
Jeu 22 Juin - 21:37