Au poète absent

Je veux retrouver
Jardin des épices
Où l’âme est complice,
Le corps frémissant,
La magie délice
Au soleil ardent.

Là où les paroles
Offrent leur eau vive,
Là où l’esprit vibre
A travers ses mots,
Là où je peux lire
De beaux sentiments.

Force qui m’entraîne
En torrent de lave
En ses vers de feu,
Qui de brume et d’ombre
Font se lever l’aube,
Lumière au levant.

Galia

Ahhh l'absence et le manque...
Les mots peuvent être le carburant du plaisir et l'envie de refaire le plein du reservoir qu'est l'esprit pour voyager à nouveau est grande...

L'échange sous le soleil, avec un petit apéro... Je suis partie vers le printemps moi !!!

Elle se fait de plus en plus dure cette retenue dans mes commentaires à ces mots, déjà il y avait "mon doux captif aimant" que je me garde égoistement puis ce "je t´Aime" :

Je t'aime...
et tu berces le rythme de ma vie sans heures, sans heurts.

Je t'aime...
en ce fleuve pâle qui traverse la nuit
et n'en finit pas de mener mon étoile à ta mer.

Je t'aime...
en ces matins, loin du vol des siècles qui fuient,
bateau ivre sur les vagues
où voguent nos voix.

Je t'aime...
en ces nuits, sans pleurs, sans heurts
où j'oublie le sommeil dans le reflet inversé de mes yeux dans ton regard .

Je t'aime...
en ces nuits blanches où mon esprit s'envole
et te rejoint.

Je t'aime...
et mon amour file au gré des mots,
effaçant les ombres pour atteindre ton image
où je me retrouve, fleur, chant, innocente et pure.

Galia

..... Mais au delà de ce qu´on peut dire de plus beau, il y a Toi mon Amour, il fallut bien qu´un jour je le crie au monde qu´il en soit heureux ou jaloux tu me portes si haut que non rien de rien, non je ne regrette RIEN.
Alors ma Mie, j´en reviens à mon style "précieux" et vous dis que pour TOUT comme par RIEN, Je vous Aime.

Héloïse à Abelard (suite)

"L' art d' écrire, Abelard, fut sans doute inventé
Par l' amante captive et l' amant agité ;
Tout vit par la chaleur d' une lettre éloquente,
Le sentiment s' y peint sous les doigts d' une amante.
Son cœur s' y développe ; elle peut, sans rougir,
Y mettre tout le feu d' un amoureux désir."

Kendor à Galia (essai)

Oui je me sais moine sans vous
mais ne vous veux point de couvent,
le déifique aux rendez-vous
j´y ai touché par vous souvent
En le satin de l´ allégresse
Par chaque geste qui devine
La femme n´étant pas déesse
Tant je vous sais m´être divine.

Quels échanges de haute volée !

je suis suis heureuse que voir
qu'il n'y a plus de remparts
entre Héloïse et Abélard !!

Alodis : n´en fut-il jamais ? Tu verras (ben oui c´est tu à compter de maintenant) dans ta longue vie à venir que ceux que certains mettront sur sur le chemin de tes Amours ne seront que fanfreluches si tu y crois et je te sais assez pour être certain que tu y croiras. Bisous poétiques à toi.

Et les pierres des remprats seront soufflées comme confettis !

J'espère apprendre à y croire assez

Tu n´as rien à apprendre c´est déjà en toi. Apprécions les nouveaux vers de Galia,
(rireeeeeeeeeeeeeeeeeee, mon côté glouton). Tendresse à toi.

C bÔ !!!!

:fleurs: à vous deux !!!

Oui, qu'elle nous régale encore comme elle sait si bien le faire !!

Oui laissons derrière nous, loin de vous.... envieux et jaloux...pour que nous profitions de vos échanges oh combien délicieux
bisous