Si l’espace serait étroit à ton aisance
Si tu voudrais connaitre encore
La cantilène animant le décor,
Où murmurent milles étoiles
Dans une tête couverte de voile
Et un esprit s’agitant dans le noir,
Faite sortir cet amour du mouroir
Et donne-lui l’espérance, il se ranime
Dans la profondeur de ton âme.
Si tes yeux arpenteraient mes feuilles
Et mon image caresserait ton réveil,
Vois dans l’aurore le message loyal
Et clair, il sillonne l’étendue astrale
En faisant entendre ma plainte
Aux anges et décrire le labyrinthe,
Qui absorbe mon énergie
Dans un mystère continuel de rêverie.
Si l’espace serait étroit à ton aisance,
Viens te rafraichir de ma patience
Et écoute la voix de la raison,
Tu sauras, qu’en moi se brise la déraison,
Qui tourmente ton existence
Et infecte souvent l’ambiance
Dans laquelle se dessine l’espoir,
D’assurer à la tendresse la victoire.
Dad Allaoua