Dans ce firmament où jaillit le bien
Trop peu de lumière pour un cœur
Animé de mille rêves, dans la stupeur
Je cherche à calmer mon ardeur,
J’attends voir dans le ciel les astres
Défiler devant le reflet de ton être,
En sanctifiant la lumière divine
Délogeant de ta voie les épines.
Dans ce firmament où jaillit le bien
Et Le mal, l’ombre et la lumière, rien
Ne trouble ta grandeur, la tempête
Hiberne et arrête sa trompette,
En laissant la splendeur céleste
Apprivoiser mes envies violentes.
Une nuit d’hiver suffit pour faire
Chanter le rossignol et sortir de l’enfer
Du désespoir sur un souffle menant
À la voie lactée avec la bénédiction
D’une lune sillonnant tous les cieux
À la recherche d’un charme gracieux.
Dad Allaoua