Emporté dans un chaos étrange
Je laisse souvent ma sueur
Sécher au soleil du printemps,
Lorsque les soupirs du cœur
Se perdent au fur que le temps
Passe et efface les rancœurs
D’un milieu sapé par un typhon.
Emporté dans un chaos étrange
Où tout me semblait se presser
Pour entendre les louanges
Même pour les actes insensés
On se force à voir les anges
Sanctifier nos esprits lassés.
Les étoiles, le soleil et la lune
Brillent par la flamme d’un cœur
Aimant ayant comme fortune
La grâce et la splendeur
D’une belle déesse nocturne
Submergée de douceur.
Dad Allaoua