J’ai tant aimé t’orner de la clarté des cieux
J’ai tant aimé t’orner de la clarté des cieux,
Que tu perdes ta réalité ou ton humanité
En devenant un être invisible à mes yeux
Tu seras toujours presente dans ma destinée.
J’ai tant voulu voir en toi toutes les couleurs,
Que tu échappes à ma vision pour paraître
Dans des rêves étranges submergée d’une saveur
Mystérieuse et douce sanctifiée par les prêtres.
J’ai tant aimé que ces nuits ne finissent pas,
Pour vivre a jamais dans ces songes,
Qui te ramènent près de moi dans des fiestas,
Où se rassemblent les astres et les anges
Loin de cet horrible fantôme, qui tonne
Dans ma tête à chaque fois, que tu décides
De se taire, au fond de toi, tu cautionnes
Les tempêtes de tourmenter ton aède.
Dad Allaoua