Au précieux qui nous chante

Où es-tu absidiole, pour mémoires profanes,
Et que les félibriges, aux heures diaphanes,
Par l´âme giorno, vénérèrent au flux
De l´aimante odelette sous muse au melliflu ?

Souviens-t´en de l´errant, Quichotte sigisbée,
Priant et qui voulut que sa prosopopée
Fut humaine pensée bien au-delà l´Atlante,
Lui-même se voulant de ce monde l´orante.

J´aime ton thébaïde, où vinrent tant de gueux,
Chacun thuriféraire sur ses genoux rugueux,
Qui point ne quémandèrent de dieu moindre pitié
Et presque des parèdres, si beaux en leur piété.

A n´en être séide je t´aime ma chapelle,
Pleine munificence dont l´acmé étincelle
Sur tout ce qui m´inspire, exégète, éristique,
Et où ma logorrhée se rêve poétique.

Tadamadon

Bon tu peux être fier de toi sourire.....je sors le dico.....je mets un bonnet pour cacher ma blondeur....je lis, relis, et je reviendrai te dire

De belle sonorité....vais découvrir ce qui se cache derrière elle
Bisous

ami kendor

en ce lieu bien précieux j'ai vu l'orante aux bras levés :respec:

Dyane, sache m´en désolé mais si la sonorité te fut un tant soit peu belle alors non rien de rien je ne regrette. Bises !

Gavroche si tu as vu l´orante tu as tout vu. Amitiés !

Sourire ...Je n'en ai pas aimé que la sonorité car si j'avoue bien humblement avoir du recourir au dico à certains mots, j'en ai saisi l'essentiel à ma première lecture...et comme à mon habitude...je lis, relis...et au fil des jours, de mon humeur, des émotions qui m'animent j'y découvre et découvre encore...Alors ne cesse jamais ta verve verbale et son empreinte perszonnelle et....surtout ne regrette pas parce que c'est bien (les regrets) la dernière chose que j'aimerais te laisser