sur notre prairie

Dans cette belle nuit étoilée,
Le cœur ne pouvait qu’espérée.
Le monde tournait autour de nous,
Nous rendant encore plus fou.

La raison n’avait pas sa place,
Là, où on se prélasse.
La nuit nous était clémente,
Sur notre prairie verdoyante.

Je ne puis contempler,
Toute la splendeur de cette beauté.
Je ne peux qu’admettre,
L’évidence de cet être.

Comment aurai je pu?
Me procurer cette bienfaisance.
Je ne suis qu’un être charnu,
Par rapport à cette présence.

Les astres nous observaient,
Alors que nos âmes s’enflammaient.
Dans la romance et l’éloquence,
Sur notre prairie verdoyante…

Un bel écrit. Merci de nous l'avoir fait partager. IRIS

Une agréable lecture...Jolie nuit d'Amour au clair de lune.

Le Gardien