Douce mère, je ne t’oublie jamais
Douce mère, je ne t’oublie jamais,
Car ton demeure est dans le cœur
Du fils chéri qui t’a fortement aimé
Dans un profond silence révélateur ;
À chaque fois, tu apparais comme
Le soleil, tu me parles, je t’écoute
Attentivement, car je suis l’homme
Intègre et fidèle qui suit la route
Tracée par nos illustres ancêtres ;
Douce mère, tu n’es pas morte,
Tu vis en moi, loin des spectres
Effroyables qui ouvrent les portes
De l’enfer ; Ton âme se réincarne
Dans mon corps, elle m’apprend
À s’éclairer par la lumière de la lune
En éprouvant du respect apparent
Pour ta mémoire ; Tendre mère,
Du fond de ta tombe, s’élève la voix
Du sang noble et de la volonté sincère
Qui incite l’affection à chasser le froid
Qui enveloppe ton corps inanimé ;
Bonne mère, tu restes pour toujours
La fleur parfumée qui avait animé
Ma vie par le parfait amour.
Dad Allaoua