J'aimerais profiter du climat de paix et de confiance qui règne en général, la nuit. Et sans parlé de décalage horaire j'aimerais ce soir me confier au cœur qui sont a l'heure de la tristesse, ou plutôt du chagrin qui trop souvent s'apparente a l'amour.
On lis, on regarde, et on est parfois témoin de l'amour, et souvent a la St Valentin ici même sur le source et partout ailleurs des hommes et des femmes renouvelé leur amour sur l'autel de l'amour éternel. La masse elle, dont j'ai surement du faire parti a un moment de ma vie, a énormément de dédain par rapport a cela et vont même jusqu'à montré ceux qui s'aiment du doigt, prétextant même que religieusement cela est prohibé, ceux ci sont semblables aux soldats qui tuent avec des armes dévastatrices, qui rependent beaucoup de sang, alors que peut être une simple balle dans le cœur aurait été suffisante...Chacun est libre de choisir les armes pour détruire un couple, mais ce ne sont pas les armes qui détruisent les être, mais c'est l'amour qui construit tout, et par extrapolation on pourrais en venir a dire que l'amour est la source de tout, mais ce n'est pas mon envie de philosophé ce soir, j'ai une charge bien plus lourde a vous confier et m'evaporer dans des calculs humains trop élevé ferais devié la substance de ma colère hors, c'est bien celle ci que je veut vous livrer ce soir, dans son habit le plus pur.
C'est au milieu des années 2000, et autant que je me souvienne je plaisait peu au femmes, j'étais arrivée a cette conclusion a cause de multiples tentative de "drague" via plusieurs support et en ces temps de technologies il est facile de noué des contacts, surtout si on sait manié sa langue et lui faire dire tout et n'importe quoi on pourrais vite arrivé a ses fins.
Mais je ne suis pas comme cela et parfois on regrette cette conscience qui vous colle partout, moi, la mienne de conscience elle m'interdisait tout les écart si bien que paraissait fade pour la majorité des femmes, un etre sans fond, d'une platitude désespérante.
Lorsque j'avais une passions et que je la faisait partager, l'autre changeait de sujet en me faisant comprendre que j'étais bien sympa avec mes histoire d'allumette suédoises mais qu'elle avoir d'autres choses a faire...forcement...Mais cette masse d'intolérance (le terme n'est pas trop fort) étrangement me rendrai fort, et je me disais que j'étais fidèle a mes principes, mais c'est bien cela le probléme, il n'y avait qu'eux pour jouir de ma fidélité...Je pensais souvent au mariage arrangé au moins la avec ma carte d'identité a défaut de trouvé le grand amour et la passion j'aurais au moins une femme a mes cotés, et ça aurait été suffisant, pour un temps tout du moins.
C'était donc au milieu des années 2000, un été, j'ai beaucoup de mal avec les dates je m'en excuse, mais ce défaut finalement s'avérera salutaire tant pour moi il était nécessaire de me vider des ces images et de ces sons....
Elle s'appelais Wahiba, ce prénom sonnait dans ma tête comme un chant de fleur, il m'évoquait l'Algérie, et beaucoup d'autre choses, ce prénom avait son lot de promesse comme un bouquet de fleur.
J'avais fait sa connaissance dans le cadre d'un projet a l'école, a l'université, nous devions soutenir une thèse quelconque sur une réaction épidermique dans les milieux aqueux, enfin bref, une suite abominable de chiffre sans fins qui ne paraissait logique qu'a ce prof au lunette de fer et aux cheveux crasseux.
Elle s'appelais Wahiba et doucement en rentrant j'apprenais a chacun de mes membre et chacune de mes veines comme prononcé de beau prénom, et j'avouerais même que je ne croyais pas au "coup de foudre" mais si la foudre m'a pris en pitié ce jour la, que dieu maudisse les paratonnerre !
Elle me convenait parfaitement, elle avait une douce voix chantante, et un jolie visage creusé dans l'émeraude, ses cheveux était une sorte de rideau sombre d'ébène retombant en frange sur deux yeux d'une même pénombre, elle avait le mystère des femme riche et la gaieté des paysannes, et c'est cette ambivalence dans sa beauté qui m'attirait.
Elle parlait peu, et avait très peu d'ami, et la seule personne qui aurait pu faire l'entremetteuse était la pire des personne qu'il m'aurait été donné de côtoyé, moche, malhonnête, veule, hypocrite et dévergondé, et je m'étonnais souvent de voir une telle verrue être amie avec la source même de ma gaité et de ma bonne humeur.
Je n'en dormais pas, et la fin de la session arrivais a grand pas et nous séparerais a jamais, sans que je n'ai pu ne serait ce qu'échanger un "bonjour" avec elle, et cette idée était insupportable.
C'est ainsi qu'un matin l'autre zombie n'était plus collé au basques de la belle que je m'étais décidé a l'approcher souhaitant que l'autre ne viendrais pas nous importuner, la vérité, j'aurais souhaité qu'elle se casse une jambe sur le chemin pourvu qu'elle ne pose pas ces yeux plein de jalousie sur notre table.
Je m'approcha donc d'elle, et dans ce genre de situation nous les hommes sommes assez débile pour espéré que la personne lise un magasine qui parle de foot pour facilité l'entre en matière, pour ma part si elle s'était plongé dans les "fleur du mal" de Baudelaire, j'aurais pu lancé la conversation sur le maitre et ainsi lui déclame des vers...bref, il était nécessaire de redescendre sur terre, la mission que je m'était confié était de taille, et souvent la première approche est déterminante, enfin je présumais, en fait je n'en savais rien, je n'avais aucune expérience en la matière, et j'avais oser espéré que ma naïveté me donnerais quelques charme inespéré ou une aura quelconque...mais je n'avais besoin de rien de cela, dés le premier regard l'alchimie entre nous fut parfaite.
J'ai du mettre du axe ce matin là et j'ai laissé le charme agir lol.
"Bonjour", ah voila une bonne chose de faite, elle me répond, je m'invite a sa table lui propose de reprendre une boisson ou un café, elle accepte volontiers un "Cappuccino",premier point commun, hé oui dans ce genre de situation on compte les bons point pour pouvoir les ressortir, oui, c'est ce que l'on fait en général mais là il fallait abandonner les usages et remballé mon livre de chevet "la drague pour les nuls", j'ai senti que je devait tout de suite être naturel, tant l'évidence qu'elle me convenait était là, sous mes yeux, la femme de ma vie s'appelerais Wahiba c'était écrit, enfin il me semblait en ce temps là que ça l'était...
Elle m'appréciait et nous avons finis par nous fréquenté et c'était magique car elle arrivait a se détaché de l'aut' pimbêche aux cheveux sales, dés que j'arrivais prés d'elle. Nous révisions ensemble, nous allions faire nos courses ensemble et rien que le fait de marché des heures avec elle me comblait de joie, j'étais de ces hommes qui se nourrissent de regard complices et de chuchotement, peu m'importait le grand luxe et les cinéma, et autant vous les dire pour l'homme fauché que j'étais, cet idéal me collait presque a la peau lol, mais cela convenait a Wahiba, et j'en arriver a me demandé pourquoi elle m'appréciait, moi qui avait si peu a lui offrir. Et lorsque l'on doute de sa capacité a donner de l'amour et a être aimer simplement pour ce que l'on est on en devient méfiant et jaloux, mais ces maux ne sont apparu que longtemps après, je ne voulais pas laisser mes démons me gâché la partie, j'étais heureux, j'étais ivre...Et mon alcool avait les yeux noirs.
Elle, avait de l'intensité dans ces geste, dans ces mots, si bien que jamais je ne lui avouais mon amour, et elle non plus, nous avions ce rapport de loin en loin avec nos sentiments, comme ci cela était un terrain ou il ne fallais s'aventurer qu'une bague au doigt, ou au volant d'une belle voiture...On se voyais de plus en plus souvent, mais je la sentais distance, elle avait place entre nous un ecran de verre, de tel sorte qu'elle ne parlais qu'a demi mot, et a chaque fois que l'on évoquait l'avenir elle lachait un "Incha Allah" évasif et sans conviction, comme on promet a un enfant sa barbe a papa dans une fête foraine.
Et un jour alors que nous rentrions de la fac, elle m'avoua être avec un homme bien plus agé que nous la quarantaine frappé, tempes grisonnante, yeux clairs, bref...je ne faisait pas le poids, elle disait aussi qu'elle pensait que ça "marcherais" entre nous, mais qu'en réalité la maturité de l'autre la rassurais et qu'elle avait besoin de cette assurance pour murir...
Je l'écoutais, comme ceux qui attende de ce faire exécuté entendre les cris de leur prédécesseur sous la flamme du bourreau, chacune de ces paroles brisait un os dans mon corps si bien qu'a la fin jetait a terre, parfaitement écroulé, comme s'écroule les fusillés...
Aussi comme cela ne sufisait pas et comme j'etait trés gentil, elle me montra la photo de Nabil (forcement il s'appelais Nabil), un photo d'eux prés d'un lac, le grand con donnant a manger a des canards qui n'attendais qu'un grand machin désarticulé vienne leur donner du pain...pathétique...
Puis, comme savent si bien le faire les femme elle m'a souhaiter tout le bonheur du monde, un épouse vertueuses, de jolis enfants patati et patata
Moi, je n'avais rien dit, ou alors une somme amorphe de syllabe allant dans le même de sens que la diatribe insensé a laquelle Wahiba m'avait fait le spectateur terrorisé...Je l'avais donc laissé comme je l'avais connu, belle et toujours plus inaccessible qu'avant.
J'avais vraiment tout penser, mais pas a cela, et malgré que ce genre de senario fait les beaux jours des séries de l'apres midi sur M6, je ne m'attendais pas a ce que cela me tombe sur le coin du crane...On ne se doute pas de la douleur, mais elle est effroyablement dévastatrice et l'on en ressort abimé, usé et fataliste.
Depuis cela n'a rien changé, sur mon regard sur le sexe opposé, même si je ne generalise pas j'ai beaucoup de mal a aimé, et beaucoup de mal a voir les gens s'aimer, je me dit que je mérite ma Wahiba, que je n'en demandais pas tan que ça...
Bref la longue litanie de l'homme triste.
Dim 19 Avr - 0:52
