Elle arrêta le temps...(Patrick et Dyane)

Né d'un commentaire à propos d'un autre de mes textes....

Jusqu’au bout de ses yeux où la lumière tend
A devenir un lac débordant de soleil
Une mer de cristal ou peut-être un étang

Jusqu’au bord de sa bouche où s’écoulent les mots
En des rivières pourpres et vives au chant si clair
Que le soleil s’y baigne en camaïeux émaux

Jusqu’au bout de ses yeux dont on vante l’orient
Cette perle immobile dévoilant le ciel
Dans la froide lueur qui arrête le temps

Jusqu’au bord de sa bouche où ma bouche se pose
A taire les pourquoi, à taire les comment
Pour qu’enfin discrets regards croisés s’osent

Jusqu’au bout de ses yeux qui se feront le jour
Pour que ma vie jamais n’ait besoin d’un éveil

Jusqu’au bord de sa bouche qui dessine tour à tour
La douceur de la lune, la course du soleil

J’imagine des mots à inventer l’amour
J’imagine des mots qui chériraient toujours

Elle était une fleur et la soie de ses yeux
Recueillait la rosée unique du printemps
Le soleil y jetait la chaleur et le feu
Comme je m’y noyais elle arrêta le temps

Jusqu’au bout de ses yeux
Jusqu’au bord de sa bouche….

Ohh temps suspends ton vol que je déguste ! La forme, très difficile pour deux plumes et le fond superbement mené par ce changement de temps à la dernière strophe ont enchanté ma lecture. Elle arrêta le temps...(Patrick et Dyane) 29984

Elle arrêta le temps...(Patrick et Dyane) 29984

Elle arrêta le temps...(Patrick et Dyane) 368833

Elle arrêta le temps...(Patrick et Dyane) 403943

Invité

Très fort ça Dyane !
Pas de ponctuation, c'est voulu ?

Emmenez-moi au pays de tous les rêves
Là où l'on s'endort en paix sur la grève,
Quand la brise du large nous caresse
Dans un sentiment de totale ivresse...

Emmenez-moi vers des illusions
Là où rien n'a plus de raisons,
Pour sentir dans le soleil couchant
L'envie soudaine d'être vivant...

Emmenez-moi hors de tous mes drames
Là où je vais enfin vous dire madame,
Réveillez-moi avant le soleil levant
Pour que je sois alors votre amant...

Une femme c'est une Mère, c'est une amante, c'est l'amour

Alors je le dis instamment et surtout sans aucun détour,

À l'heure où le temps est passé largement sur nos vies

Je répète que sans nos âmes soeurs nous serions anéantis...

　

Une femme pense aux besoins de chaque jours qui passent

Une femme sait quand nos coeurs nous dépassent,

Une femme c'est un cadeau de notre absolu Créateur

Alors ne m'en veuillez pas de leur envoyer des fleurs...

» Elle écrit merciiiiiiiiiiiiii (Pierre et Dyane)
» Un journée particulière pour elle...(Dyane)
» Cette larme de temps (Kendor et Dyane)
» Dyane
» Là-bas (Pierre et Dyane)