Toujours aussi con le vieux Pablo !

y aura-t-il un jour chez toi un titre à la hauteur de tes mots ???? Je ne vais pas refaire inlassablement le coup des synonymes.

Je n'ai plus de titre et plus de grade cher Kendor ! Tout comme les anciens Légionnaires, j'ai jeté mes médailles dans la rade de Toulon en quittant la marine; je ne veux plus ni honneur, ni distinction, je veux parler à mes frères humains et je sais que demain je vais larguer les amarres une dernière fois... Capice ?

Je sais que les poètes vous font chier
Je sais, on ne fait que de vous emmerder,
Mais sachez simplement qu'avec nous
Les mots sont plus forts que vos genoux...


Je sais que les penseurs vous emmerdent
Parce que vos esprits ainsi se perdent,
Dans des dilemmes de viles déraisons
Où vous ignorez toutes les passions...


Je sais que je suis juste un peu con
Et bien plus au vu de nos saisons,
Alors je me sers ainsi de mon calame
Pour ne rien vous cacher de mon âme...

j'aime le premier et le deuxième poème...le titre...un peu étrange comme introduction...
au plaisir de lyre encore

comte de l'isle abel a écrit:

j'aime le premier et le deuxième poème...le titre...un peu étrange comme introduction...
au plaisir de lyre encore

Chère Madame comte de l'isle abel, puisque je ne saurai jamais rien plus de vous sans doute, d'où vous me permettrez "siouplait m'Dame" un petit reproche; moi, je me suis présenté ici en disant l'essentiel sur ma personne, mais si je suis entré par là même, dans "un bal masqué" ? pardonnez à mon innocence un coup de "vent du nord" car en vieux mataf, je connais aussi le ressac !

Bien, je vous réponds : je suis ma "piste à moi" je n'ai pas peur des mots, je pense l'avoir démontré, je n'ai pas eu toujours l'élégance pour le dire, je l'admets; mais le vieux Pablo il est comme ça, alors ça plait ou pas et je n'interdis à personne un droit de réponse ! Radio check over !

Où que j'aille je parlerai toujours de ton amour
Comme le rêve doré dès mes plus beaux jours,
Où que j'aille je dirai encore que de t'avoir perdue
Fut pour moi la déchéance qui me voua à l'imprévu...

Où que j'aille le long de mon errance le son de ta voix
Restera en écho dans tout ce qui reste encore de moi,
Où que j'aille j'entendrai sans cesse tes je t'aime
Et je me pencherai de nouveau pour écrire des poèmes...