Claire épure, pur éclair, ton regard est si vert !
Que laissent les fougères leurs grands bois orphelins !
Tout reste de printemps en ces yeux grands ouverts
Dont l´orée se pare de longs cils aquilins.
Que laissent les fougères leurs grands bois orphelins !
Des notes recolorent la seconde sincère
Dont l´orée se pare de longs cils aquilins
Et le jade, l´émeraude y jouent de concert.
Des notes recolorent la seconde sincère,
En le haut infini s´enchantent les étoiles
Et le jade, l´émeraude y jouent de concert
Doux sacre d´un temps où l´âme se dévoile.
En le haut infini s´enchantent les étoiles,
Tout reste de printemps en ces yeux grands ouverts,
Doux sacre d´un temps où l´âme se dévoile.
Claire épure, pur éclair, ton regard est si vert !
Tadamadon