Laissez-moi rêver, ne me parlez pas trop !
Laissez-moi rêver, ne me parlez pas trop !
L’âme se noie dans la verdure renaissante
D’un magnifique pays béni par le ciel indigo
Et embelli par la blancheur éblouissante,
Un beau pays louangé par l’étoile polaire,
Illuminé par la lumière d’un soleil rouge
Et protégé par l’éclat du croissant lunaire
Quand aucune chose de la vie ne bouge,
Il m’a appris à propager l’esprit de liberté
Et à changer ce monde interlope d’injustice
Par la détermination d’un être dont la fierté
Reste sans égale, un être dénué de malice
Qui éclaire tous les peuples par la raison
Sans les éloigner de la nature humaine
Ou les empêcher de grandir en perfection
Et en savoir par des querelles vaines
Qui maintiennent les âmes captives
Dans l’ombre des mensonges éhontés
Sans dévoiler les silhouettes furtives
Qui préparent la ruine de l’humanité
Par une contagion élevée dans le berceau
De la férocité sans le laisser apparaître
Dans l’expression des frissons de la peau
Lorsqu’on conserve l’espoir de renaître
Dad Allaoua