À chaque fois qu’un nouveau jour
À chaque fois qu’un nouveau jour
Renaît ou qu’une nuit parfumée
Aux jasmins enfante l’aurore,
Je perçois la nécessité d’allumer
La flamme de l’espoir dans les cœurs
Des gens perdus dans les rivages
Lointains sans saisir le ton moqueur
De la voix injuste qui créée le clivage
Racial pour diviser la société civile
Et provoquer les guerres incessantes,
Où dansent follement les vils
Scélérats et s’amorce la descente
Aux enfers de tous les humains ;
Lorsque j’admire la beauté cachée
Des espèces je me rends compte
De la vraie sagesse qui dompte
Mes passions en me forçant à voir
La raison dans le visage resplendissant
De l’enfant sans conforter le pouvoir
Des criminels ou des sauvages errants
Qui répandent la terreur nocturne
Sans percevoir dans leurs actes
La menace de la sécurité commune
Et les retombées néfastes.
Dad Allaoua