Je refuse de courber mon échine
Je refuse de courber mon échine
Devant les tueurs qui changent
Les êtres humains en machines
Qui répandent les pires carnages ;
Je veux vivre et aimer, sans faire
Les choses à la sauvette ou voir
Dans les yeux des manipulateurs
L’éclat qui chasse les nuages noirs
Et ouvre les portes du ciel clément
Aux regards des enfants attristés
Qui affirment leur désir véhément
De faire triompher la fraternité
Humaine et de préparer l’avenir
Commun à tous les peuples libres
Rêvant de vivre en paix et de s’unir
Loin des spectacles macabres
Organisés par les ennemis
De l’humanité pour semer la défiance
Et éveiller les monstres endormis
Sans favoriser la coexistence
Pacifique ou effacer les exploits
Sanguinaires qui changent le sage
En un fou qui transgresse les lois
Sans montrer son visage.
Dad Allaoua